Mon Histoire
De la passion de l'image à l'évidence

Tout a commencé avec un appareil photo numérique et les vacances en famille. Plus tard, c’étaient les moments entre amis, les premiers smartphones, les petits montages pour revivre ensemble ce qu’on avait partagé. Je ne filmais pas pour « faire une vidéo », mais pour garder une trace, pour transmettre quelque chose à ceux qui étaient là — et à ceux qui n’y étaient pas.
Je pense que ce besoin de transmettre ne m’a jamais quitté.
Un regard souvent dirigé par l'émotion
Je suis aussi passionné de sport. Plus jeune, j’adorais filmer les tribunes lorsque le stade s’enflammait. Curieusement, je laissais de côté les joueurs sur le terrain. Ce qui m’émouvait, c’était l’effet qu’ils produisaient sur les gens : les cris, les larmes, les chants, les regards partagés. L’émotion brute, collective, humaine.
Je crois que ce regard m’a suivi jusqu’à aujourd’hui. D’ailleurs même adulte, je vous laisse deviner ce que je filme lorsque je vais voir un concert ! Derrière ma caméra, je cherche ce lien invisible entre une personne, un lieu, une idée… et l’émotion qu’ils éveillent chez les autres.
Un tournant : le documentaire
Je suis aussi passionné d’Histoire, et c’est cette passion qui m’a conduit à réaliser mon tout premier documentaire, sur le village de Dun-les-Places, marqué par une tragédie méconnue de la Seconde Guerre mondiale. Ce projet a tout changé. Il m’a révélé à moi-même.
Je me souviens encore du tout premier interview, avec Claude Pichot. Son témoignage m’a bouleversé. Ce jour-là, j’ai compris que filmer, ce n’était pas seulement capter des images. C’était recueillir une parole, une émotion, une mémoire. Ce documentaire, réalisé avec une simple caméra, continue d’être diffusé auprès d’élèves, dans des mairies… et au plus profond de moi-même, il restera toujours fondateur.
Aujourd’hui, même si j’ai beaucoup évolué techniquement, même si j’ai investi dans du matériel professionnel (son, image, éclairage, drone…), cette sincérité-là ne m’a jamais quitté.
Ma vision : filmer ce qui compte
Je suis un autodidacte. J’ai tout appris par moi-même, en pratiquant, en testant, en me trompant parfois. À part le drone (où j’ai suivi une vraie formation), tout ce que je fais aujourd’hui vient de centaines d’heures de travail passionné. Je me considère comme un artisan de l’image, parce que je conçois chaque projet sur-mesure. Rien n’est standard. Tout est pensé en fonction de l’histoire à raconter.
Je travaille dans le respect, l’écoute et la bienveillance. Je crois que l’humain doit toujours être au centre. Je ne fais pas ce métier pour vendre des images. Je le fais pour faire passer quelque chose. Et si, à travers un film, je peux faire naître une fierté, une émotion, une prise de conscience ou un simple sourire… alors j’ai réussi.
Ma manière de travailler : sérieuse, sensible, chaleureuse
Je ne me vois pas comme un prestataire. Mais comme un partenaire, un allié, un conseiller bienveillant. Travailler avec moi, c’est vivre un échange en confiance, dans une ambiance sérieuse mais détendue. J’adore découvrir de nouvelles personnes, de nouveaux univers, de nouveaux défis.
Je m’adapte aux besoins, aux envies, aux contraintes. Je peux varier les styles, les formats, les rythmes. Je peux aussi proposer des versions pensées pour les réseaux sociaux, des formats courts ou longs, narratifs ou contemplatifs. Ce qui compte, c’est que le résultat soit juste, sincère, vrai.
Une autre source d’inspiration : la musique
Je viens d’une famille de musiciens. Moi, je ne joue d’aucun instrument. Mais je crois que ma sensibilité musicale est née dans cet environnement. La musique m’accompagne dans toutes mes créations. Je passe souvent des heures à écouter, réécouter, tester, imaginer. Une seule musique peut inspirer tout un montage.
Je ne choisis pas la musique après avoir monté mes images. Souvent, c’est l’inverse. C’est la musique qui dicte le rythme, le ton, l’intention. Elle me guide. C’est une véritable partenaire de création.
Ce que je souhaite transmettre
Je souhaite que cette page vous donne envie de travailler avec moi. Mais pas comme on travaille avec un prestataire classique. J’aimerais que vous ressentiez qui je suis, ce qui m’anime, ce que je peux apporter à vos projets.
Je ne suis pas un grand orateur. Je ne suis pas là pour convaincre à tout prix. Mais je suis profondément convaincu que lorsque les choses sont faites avec honnêteté, passion et bienveillance, elles résonnent naturellement.
Alors si vous avez une idée, une envie, un sujet à valoriser… je serais heureux d’en discuter avec vous.
Mes racines : Dijon et la Bourgogne… mais pas seulement
Je suis né à Dijon, j’y ai grandi, et j’y vis encore aujourd’hui. J’ai un attachement profond à cette région, à ses paysages, à ses gens, à ses histoires. Mais je me déplace dans toute la Bourgogne-Franche-Comté, et au-delà, pour des projets qui en valent la peine.
Vous avez un projet vidéo ?
Discutons ensemble de votre idée, de votre mission, de votre envie. Je vous accompagne de l’écriture à la diffusion. Votre futur film est peut-être déjà en train de naître.
Les questions que l'on me pose souvent
Es-tu vidéaste de formation ?
Non, je suis autodidacte. J’ai appris en pratiquant, encore et encore. D’abord pour moi, puis pour les autres. Je me suis formé seul à l’image, au montage, au son… sauf pour le drone, où j’ai suivi une vraie formation certifiée. Ce chemin, un peu à part, fait aussi ce que je suis : un artisan de l’image, passionné et engagé.
Pourquoi avoir choisi ce métier ?
Parce que je crois au pouvoir de l’image pour faire passer des émotions, des idées, des engagements. Plus jeune, je filmais déjà les tribunes en feu dans les stades, les moments de joie partagée. Ce n’était pas que le score qui m’importait, c’était l’humain. D’ailleurs, sur les réseaux sociaux, mes vidéos faisaient des milliers de vues ! Et ce n’est probablement pas un hasard. Aujourd’hui encore, c’est ça qui me guide.
Tu écris aussi ?
Oui, j’écris beaucoup. Pour moi, l’écriture, c’est le début de l’image. J’aime réfléchir, formuler, poser une intention. Et quand je travaille sur un documentaire ou un film sensible, j’y accorde une place essentielle. C’est souvent à l’écrit que naît la cohérence du projet.
Intègres-tu des prises de vue par drone ?
Oui, lorsque cela est possible, j’intègre des plans aériens pour enrichir vos vidéos lorsque cela est pertinent.